1. Le maillage anti-insectes : Ce type de maillage est optimal pour se protéger des insectes, notamment des moustiques, tout en laissant passer une quantité suffisante d’air et de lumière, évitant ainsi toute sensation d’étouffement. Par exemple, un maillage de 18 x 14 (252) a une ouverture approximative de 58% et une transmission de la lumière/UV de 60%. Si vous vivez ou séjournez dans une zone où les petits insectes quasiment invisibles à l’œil nu sont un problème, vous pourriez avoir besoin d’une moustiquaire 20 x 20 (400), qui offre une meilleure protection contre ces insectes1.
2. Le maillage solaire : Lorsque l’on souhaite bénéficier d’une protection solaire en plus d’une barrière contre les insectes, il faut se diriger vers des mailles plus serrées, qui ont la capacité de réduire jusqu’à 75% les reflets de la lumière et de nous garder au frais. Un exemple serait un maillage de 20 x 30 (600) avec une ouverture approximative de 32% et une transmission de la lumière/UV de 35%1.
3. Le maillage anti-pollen : Pour arriver à faire barrière à la plupart des pollens, les industriels ont développé des maillages ultra-fins. Une moustiquaire anti-pollen comptabilise plus de 150 ouvertures par cm², parfois plus, soit à minima trois fois plus que sur une moustiquaire « classique ». Ces moustiquaires doivent être certifiées ECARF (Fondation européenne de recherche sur les allergies), qui attribue un label européen aux produits et prestations de service adaptés aux personnes allergiques1.
4. Le maillage « intimité » : Ce maillage ultra-resserré ne laisse quasiment plus de lumière/rayons UV passer, 90% d’entre eux étant bloqués. La toile est également plus épaisse et offre une protection solaire plus importante ainsi que davantage d’intimité. Par exemple, un maillage de 23 x 60 (1380) a une ouverture approximative de 10% et une transmission de la lumière/UV de 10%1.
Rappelez-vous que le maillage de votre moustiquaire est l’une des caractéristiques principales à prendre en compte lors de votre choix. Il détermine la taille des ouvertures dans le filet et donc le type et la taille des insectes qui seront bloqués. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le minimum acceptable est une maille de 156, ce qui correspond à 25 trous par centimètre carré. Pour une protection maximale, il est recommandé d’opter pour un maillage qui dépasse 200. Un maillage compris entre 250 et 300 trous par pouce serait le meilleur compromis, suffisamment resserré pour ne pas laisser entrer les petites bêtes, mais assez grand pour permettre à l’air de circuler1.
S'INFORMER SUR LES PERGOLAS (11)
- Une pergola autoportante est une structure indépendante qui repose sur ses propres poteaux.
- Avantages : liberté d’installation, pas de dommages à la façade, création d’espaces ombragés.
- Inconvénients : moins élégantes, moins rigides.
- Conseils pour choisir et installer une pergola autoportante.
- Entretien et personnalisation de votre pergola autoportante.
- Origine et qualité du bois : privilégier les bois d’Europe du Nord et issus de forêts gérées durablement.
- Traitement du bois : choisir un bois autoclavé ou thermo-chauffé pour une meilleure durabilité
- Classes d’emploi du bois : opter pour un bois de classe 4, adapté aux conditions extérieures
- Bois massif ou laminé : préférer le bois laminé pour une meilleure résistance et moins de déformations
- Structure de la pergola : sélectionner des montants, poutres et traverses de dimensions appropriées pour garantir la stabilité et la résistance de la pergola
- Une pergola bioclimatique est une structure extérieure dont la toiture peut être fixe, orientable, ou refoulable.
- L’étanchéité de la pergola est assurée par l’imbrication des lames et, sur certains modèles, par une lèvre en plastique.
- L’eau de pluie est évacuée grâce à une légère pente des lames et des gouttières intégrées aux traverses.
- Malgré une certaine protection contre la pluie, la pergola bioclimatique est avant tout un dispositif de protection solaire.
- La Direction Générale des Finances Publiques (DGFiP) utilise un logiciel d’IA pour identifier les extensions et autres constructions non déclarées au cadastre en France.
- Le logiciel de la DGFiP a des difficultés à différencier les bâtiments aux surfaces importantes tels que les extensions des simples abris de jardin.
- Malgré les limites, la DGFiP envisage d’étendre l’utilisation du logiciel pour identifier d’autres immobilisations telles que des hangars, des garages et des pergolas.
- Les propriétaires sont inquiets quant à l’utilisation de ce logiciel, car il pourrait produire de faux résultats positifs.
- Il est essentiel de s’assurer que le logiciel fournit des résultats précis avant d’imposer des taxes aux propriétaires.
- La pergola adossée est fixée à la maison et convient aux terrasses.
- L’orientation et les limites de la pergola adossée.
- La pergola autoportée est indépendante et peut être installée n’importe où dans le jardin.
- Le terrain et les limites de la pergola autoportée.
- Caractéristiques constantes et garanties du bois lamellé-collé
- Résistance exceptionnelle du matériau
- Investissement durable et esthétique pour les pergolas
- Procédé de fabrication rigoureux en 10 étapes
- Croissance constante du bois lamellé-collé dans la construction
- Les pergolas en bois ont un aspect rustique et économique, mais nécessitent un entretien régulier.
- Les pergolas en acier demandent peu d’entretien, mais nécessitent des compétences en soudure pour leur construction.
- Les pergolas bioclimatiques sont esthétiques et fonctionnelles, mais ont un prix élevé et nécessitent un entretien régulier.
- Les pergolas à toiles et les vélums sont fonctionnels et demandent peu d’entretien, mais laissent moins de lumière entrer dans la maison en hiver.
- Matériaux pour les pergolas : bois, aluminium et acier. Chaque matériau présente des avantages et des inconvénients en termes d’entretien, de durabilité, d’esthétique et de coût.
- Types de pergolas : adossée (fixée à la maison) ou autoportante (indépendante). Les pergolas adossées sont idéales pour les patios et les terrasses, tandis que les pergolas autoportantes sont parfaites pour créer un espace extérieur séparé.
- Types de couvertures pour les pergolas : couverture fixe, bioclimatique et à toile rétractable. Les pergolas à couverture fixe sont plus permanentes, les pergolas bioclimatiques offrent un contrôle optimal du climat intérieur grâce à des lames orientables, et les pergolas à toile rétractable permettent une protection modulable contre le soleil et la pluie.
En conclusion, le choix de la pergola idéale dépend de vos besoins, de votre budget et de vos préférences esthétiques. Prenez en compte les différents matériaux, l’entretien, la durabilité et l’apparence lors de votre décision. N’oubliez pas de consulter des professionnels pour obtenir des conseils personnalisés et pour vous assurer que votre pergola s’intègre parfaitement à votre espace extérieur.
- Lames orientables pour les pergolas bioclimatiques, couverture fixe ou amovible pour les pergolas traditionnelles.
- Matériaux de construction : aluminium pour les pergolas bioclimatiques, bois, acier ou aluminium pour les pergolas traditionnelles.
- Poids et résistance : pergolas bioclimatiques plus lourdes et résistantes.
- Coût d’installation : pergolas bioclimatiques plus coûteuses
- Choisir entre une pergola adossée ou autoportante selon l’emplacement et l’utilisation souhaitée.
- Prendre en compte le budget pour choisir une pergola adaptée à vos moyens.
- Considérer l’étanchéité de la pergola pour faire face aux intempéries.
- Choisir le matériau de la structure en fonction de l’esthétique, du prix et de l’entretien.
- Sélectionner la couverture adaptée à vos besoins et à l’aspect général de votre pergola
- Installation et structure de soutien lourde
- Nécessité d’un entretien régulier
- Coût élevé
- Design contemporain
- Nuisances sonores